samedi 22 août 2009

Mieux vaut en RIRE

Il y a tant de façon de voir le monde, optez pour la meilleure. Etre poire et le savoir, ce n’est pas être poire.

Mieux vaut en rire . . . mais c’est la stricte vérité

- Admettons que vous vous mettiez à hurler pendant 8 ans, 7 mois et 6 jours, vous auriez produit en fin de compte assez d’énergie sonore pour chauffer une tasse de café.
-Le coeur humain crée assez de pression en pompant pour faire gicler le sang à 9 m.
-Le fait de vous cogner la tête contre un mur consomme 150 calories à l’heure.
-Les humains et les dauphins sont les seules espèces à trouver plaisir dans un coït.
-En moyenne les gens ont d’avantage peur des araignées que de la mort.
-Le muscle le plus fort du corps humain, c’est la langue.
-Il est impossible d’éternuer sans fermer les yeux.
-Vous ne pouvez pas vous suicider en retenant votre respiration.
-A chaque fois que vous lécher un timbre, vous consommez un dizième de calorie.
-Vous courrez plus de risque de vous faire tuer par un bouchon de champagne que par une araignée vénimeuse.
-Les droitiers vivent , en général, neuf ans de plus que les gauchers.
-Dans l’Egypte ancienne, les prêtres s’épilaient tout le corps, y compris les sourcils et les cils.
-L’orgasme d’une truie dure trente minutes.
-Un crocodile ne peut pas tirer la langue.
-Une fourmis peut soulever 50 fois son poids, peut tirer 30 fois son poids, et si elle est saoule, c’est à droite qu’elle penche et tombe.
-L’ours polaire est gaucher.
-La puce peut sauter 350 fois sa hauteur, un peu comme si, nous pauvres humains, nous sautions la longueur d’un terrain de foot.
- Un cancrelat peut vivre 9 jours sans sa tête, avant de mourir de faim.
- Le mâle de la mante religieuse ne peut copuler tant que sa tête est attachée à son corps. C’est la femelle qui a l’initiative en arrachant la tête du mâle.
-C’est dans les pattes que les papillons ont le sens du goût.
-L’éléphant est le seul animal à ne pouvoir sauter. ( Quelle chance !)
-A la lumière noire, l’urine d’un chat brille.
-Chez l’autruche, l’oeil est plus grand que la cervelle.
-L’étoile de mer n’a pas de cervelle.

Je vois déjà les esprits scientifiques se mettre à expérimenter.

Glané par B e r n i e


La fin du monde approche . . .

On le sait que la fin du monde approche, mais qui peut en définir la proximité ? Les esprits simples ont la faiblesse de voir en l’année 2000 une date probable. A la rigueur d’accord pour les Chrétiens qui compteront dix neuf siècles depuis la naissance d’un certain Jésus de Nazareth, encore que . . . nombre d’exégètes, dignes de foi, ont découvert que Jésus est bien né en l’an 3 avant JC !

Mais qu’en pensent les Musulmans pour qui 2000 marquera l’an 1420 de l’Islam ? Qu’en pensent les Juifs qui en sont à l’an 5700 de leur histoire ? Qu’en pensent les Bouddhistes qui seront en l’an 2485. Et qu’en pensent les mécréants, athées ou agnostiques pour qui l’an 2000 n’a pas lieu d’exister ?

Les disciples du prophète Edgar Cayce croient qu’en 2000 les deux pôles fondront provoquant tremblements de terre et un nouveau déluge universel.
Michel Dronin, journaliste économique de grande renommée, explique dans son analyse de la Torah que la troisième guerre mondiale va éclater. . . . . . “A moins que ce soit en 2006”, précise-t-il dans sa conclusion.

Les Américains, toujours prompts à l’hystérie collective, voient naître des quantités de sectes, telle celle des adeptes de la “ Maison de Yahvé” qui pensent que le genre humain va disparaître le 13 octobre 2000 sous les bombes nucléaires.

Depuis 1694 jusqu’à ce jour des toqués de téléscopie ont annoncé cent fois la fin du monde et la seconde venue du Christ. En 1836 un prédicateur newyorkais, Bill Miller, avait annoncé le terme pour 1843, puis pour 1844. Lorsqu’au milieu de l’hiver 1844 une comète traversa le ciel, ses disciples décuplèrent en nombre, mais rien ne se passa. C’est de cette secte qu’est née l’église Adventiste du 7ème Jour qui regroupe plus de dix millions d’adeptes.

Les Témoins de Jéhovah ont annoncé plusieurs fois la fin du monde. Quand la Guerre 14/18 éclata, Charles Russel, leur grand prêtre, précisa même la date. Puis ce fut 1940 et , dernière prédiction, 1975. Depuis les Témoins disent qu’en fait la date reste cachée. Au moins là ils ne se trompent pas et ne trompent personne.

Et c’est bien vrai que la fin du monde approche, dirait le Maréchal de France Jacques II de Chabannes, seigneur de La Palice, tout comme un enfant de cinq ans est plus près de sa mort que de sa naissance. . . serait-il bâti pour faire un centenaire.

Il n’y a qu’aux amis qu’on peut dire la vérité . . .

Sport France-Angleterre : 2 à 2 Impressions et vérités

Citation :“ Il est certain que les Anglais nous haïssent et d’une haine si forte et si générale qu’on serait tenté de la mettre au nombre des dispositions naturelles de ce peuple.Elle est plus véritablement l’effet de leur orgueil et de leur présomption; puisqu’il n’ y a point de peuple en Europe plus hautain, plus dédaigneux, plus enivré de l’idée de son excellence. Si on les en croit, l’esprit et la raison ne se trouvent que chez eux; ils adorent toutes leurs opinions et méprisent celles de toutes les nations, il ne leur vient jamais en pensée, ni d’écouter les autres, ni de se défier d’eux-mêmes. Au reste, ils se font, par ce caractère, bien plus de tort à eux-mêmes qu’à nous. Ils sont par là à la merci de tous leurs caprices.Environnés de la mer, on dirait qu’ils en ont contracté toute l’instabilité.” Maximilien de Béthune,Baron de Rosny,Duc de SULLY dans ses Mémoires 1620 à la suite de son ambassade à Londres. Précisons que Sully était pourtant lui-même membre de la Réforme.
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Bernie qui , pour bien les connaître, après plus de cent séjours outre-Manche, adore les Anglais, leur courage et leur humour, vous dit sans la moindre hésitation : Allons donc à London !


Qui ne connaît l’expression “ Filer à l’anglaise “ ? Et tout le monde sait hypocritement que c’est le moyen le plus discret de prendre de la distance, de partir sans prendre congé ...” par allusion au sans-gêne des Anglais”, dirait Maurice Rat.

Il faut se souvenir que si les Allemands nous ont servi d’ennemis héréditaires pendant quatre-vingts petites années ( bien remplies, c’est vrai), les Anglais, eux, ont été nos ennemis mortels quasi permanents pendant sept longs siècles et davantage. Le temps de forger de part et d’autre une vraie, une solide antipathie dont il reste des traces dans la langue. Du XV° au XIX° s. on nommait “ anglais “ un créancier grippe-sou, un usurier:

Oncques ne vis anglais de votre taille
Car tout à coup vous criez : Baille ! Baille !

Ainsi s’exprimait en une épigramme de 1534 Clément Marot , valet de chambre de François Ier, lui aussi sympathisant de la Réforme, en souvenir des impôts et taxes divers levés par le “ parti anglais” au cours de la guerre de Cent Ans.

Il va sans dire que ce fond d’acrimonie dans le langage se retrouve intact de l’autre côté de la Manche. L’équivalent de notre “ filer à l’anglaise” est à Londres “ take the French leave “, ( de même que “ capote anglaise” se dit “ French letter”). C’est que toutes les batailles font leurs prisonniers et tout prisonnier n’a qu’une idée en tête: fausser compagnie à ceux qui le gardent, le plus discrètement possible, cela va de soi. Donc pendant plus d’un demi-millénaire, les deux pays ont eu des captifs de nationalité adverse , lesquels, périodiquement, partaient soit “ à la française”, soit “ à l’anglaise ” , selon le point de vue de l’observateur.

Les moins jeunes d’entre nous se rappellent probablement l’expression “ les Anglais ont débarqué “ . Expression qui est bien antérieure aux célèbres galipettes de 1944 sur les plages de Normandie, puisqu’on la trouve dans une chanson du lexicographe Alfred Delvau de 1867. Où va donc se nicher l’anglophobie ?. . . Soyons justes et rappelons que les Anglais nomment “ French gout “ ( douloureux , l’acide urique de la goutte ! ) leurs maladies vénériennes.

Ma première visite en Angleterre: au milieu du siècle dernier

Un ferry m’avait mené de Calais à Douvres par le servicede 22h30, le moins cher et le dernier de la journée. A bord j’avais acheté le Daily Mail pour tromper les quatre-vingt-dix minutes de traversée. Grande fut ma surprise lorsqu’en manchette je pus lire:” Brouillard sur la Manche. Le Continent est isolé”. Tout un programme en perspective!
J’étais à pied et n’avais aucun plan d’attaque. A l’arrivée, je notai que , seuls une demi-douzaine de passagers, tous Anglais à première vue, avaient traversé sans camions, autocars ni voitures. La douane était sévère et l’officier d’immigration , de toute évidence surpris de voir débarquer à minuit un étranger et qui plus est sans voiture, m’indiqua que la file pour moi n’était pas celle des “ British citizens”, mais celle indiquée “Aliens “. Il est irréfutable que le mot “ alien” a bien le sens d’étranger en anglais, même si son origine latine vulgarise plutôt la signification imprécise d’ “ autre “, mais vous m’avouerez que le vocable “Alien “ revêt pour un Français une connotation de ‘ dérangé mental ’. Je quittai donc la queue des six British citizens et m’approchai du guichet réservé aux étrangers. J’étais le seul et les formalités furent rapides. “Combien de temps comptez-vous rester en Grande Bretagne ? “ - “ Je ne sais pas. Entre huit et quinze jours !”. La réponse parut trop imprécise au policier.” Chez qui allez-vous loger à Douvres ?” - “ Chez personne. Je compte prendre une chambre à l’hôtel!” L’officier, probablement fatigué, tamponna mon passeport et me le rendit après y avoir inséré deux imprimés. L’un indiquait qu’il m’était interdit de travailler et donnait trente lignes de détails pratiques. L’autre me précisait les démarches à entreprendre pour obtenir une carte de ravitaillement. Il y a plus de six ans qu’en France les tickets de ravitaillement avaient disparu. . . Lorsque je sortis de l’autre côté du bâtiment officiel, je m’aperçus que camions, autocars et voitures avaient déjà quitté les lieux. Le silence et l’obscurité enveloppaient la ville. Dover était à moi seul.
Hôtels et pensions se succédaient les uns aux autres, mais aucune enseigne n’était allumée.Peut-être aurais-je plus de chance de trouver un hôtel à Londres et comme ma destination finale était la capitale, je me dirigeai vers la gare pour attraper un train de nuit. La gare était fermée et le seul réverbère allumé à sa proximité ne me permettait pas de lire les horaires affichés à l’extérieur. J’étais planté là sur une terre inconnue, au milieu de la nuit, sans âme qui vive pour chasser le désespoir.
De l’autre côté de la place une clarté qui ne pouvait venir que d’un récepteur de télé apparut au premier étage d’une pension de famille. Je traversai la place tout reconforté préparant mentalement une phrase d’excuses pour une arrivée tardive, me laissant même aller jusqu’à prévoir : “ Je ne veux pas vous déranger à cette heure de la nuit. Non vraiment, mais si ,par hasard ,cela ne vous cause pas trop de tracas un simple sandwich au jambon et un cornichon avec une canette de bière feront amplement l’affaire”. Entre la grille du jardin et la porte d’entrée, c ‘était l’obscurité complète. Totalement ignorant des seuils à l’anglaise, je trébuchai sur une marche invisible et me retrouvai la tête la première sur la porte de la maison, faisant tomber plusieurs bouteilles de lait vides dans un fracas génant. Le fenêtre du premier s’ouvrit: “ Qu’est-ce que c’est? “ dit une voix revêche. Je fis un pas en arrière en me frottant le nez et levai la tête pour apercevoir une silhouette entourée de bigoudis. “ Bonjour! Je cherche une chambre “- “ Nous sommes fermés!”-” Où pourrais-je manger un morceau ?”- “ Essayez donc le Commodore ! Sur le front .”- “ Le front de quoi ?”. En guise de réponse, la fenêtre se referma brutalement. Il s’agissait vraisemblablement du front de mer, tout proche . En effet, de loin , l’enseigne du Commodore, recommandé par l’Automobile Club, s’il vous plait, faisait tache éclatante sur le front sombre de la Promenade. Je m’y rendis prestement. C’était de toute évidence un hôtel de luxe, un de ces établissements qui reçoivent les clients à toute heure du jour ou de la nuit. Par une baie je pus deviner un salon somptueux, avec tentures de velours rouge, un bar et une dizaine de clients en costumes de soirée. Qu’allai-je faire en blouson et sac à dos dans ce monde? Et puis, sans nul doute, le prix des chambres devait dépasser mon maigre budget. D’autant plus réduit par la dépense de la veille au soir dans un restaurant exorbitant de Calais. Il était plus d’une heure du matin. La température douce m’incita à profiter d’un banc dans un abri-bus. Mon sac me servant d’oreiller et l’épuisement me firent vite oublier les têtes épaisses des clous qui recouvraient le banc. Le bruit du ressac sur les galets de la plage et la fatigue m’envoyèrent dans les bras de Morphée.
C’est la corne de brume qui me reveilla au petit jour. Le monde alentour était baigné dans le clair obscur qui précède l’aurore et qui vient dont on ne sait où. Les mouettes avaient commencé leur bavardage. Le premier ferry de la journée quittait le port vers la France.Il était presque 6 heures. Qui pouvait bien voyager à cette heure?
Je me levai et fis quelques pas pour rétablir la circulation dans des veines engourdies. Près du Commodore, mantenant plongé dans la torpeur, un petit vieux promenait son chien en laisse. Le toutou voulait à tout prix lever la patte sur toutes les surfaces verticales qu’il rencontrait.Il ne trottinait pas,mais était plutôt halé sur trois pattes. En me croisant le petit vieux me salua d’un :“ Va p’t être faire beau !” en regardant le ciel où les nuages ressemblaient à un tas de serviettes humides. Je m’enquis d’un restaurant ouvert à cette heure matinale. Il connaîssait un endroit, pas trop loin et m’indiqua la direction. “ Le meilleur routier de la région!” - “ Routier? “ repris-je , en m’écartant un peu de lui car son toutou tirait sur sa laisse avec la ferme intention de mouiller mon pantalon. “ Vous verrez bien les camions. Ces types connaîssent les bons endroits”.
Le routier s’avèra accueillant. J’eus droit à une grande assiette d’oeufs brouillés, de haricots, de pain frit dans la graisse, de bacon et de saucisses avec, sur une soucoupe, deux tranches de pain de mie et un morceau de margarine, le tout arrosé de deux tasses de thé réconfortantes. Et tout ça, pour 2,50 francs. Ragaillardi, je pouvais maintenant affronter Douvres . . . A nous deux , l’Angleterre!
Bernie de Tours , Juillet 1952

Nos ancêtres les GAULOIS ou nos ancêtres les AFRICAINS

Seuls les bornés primaires revendiquent cette origine-là.Comme si elle était indélébilement gravée sur un socle de marbre dur;
- la pommme de terre qui nourrit l’Europe nous vient d’Amérique, idem pour la tomate;
- blé, orge, seigle, riz et thé viennent d’Asie, le café d’Afrique,
-le chameau aujourd’hui figure d’Afrique ètait inconnu là-bas au temps de St Augustin,
-les Indiens d’Amérique furent effrayés à la vue des chevaux espagnols,
-les plus beaux boeufs d’Argentine ou du Mid-West sont d’origine britannique,
-les Juifs sont le peuple le plus mêlé de la terre,
-que reste-t-il d’arabe chez un Arabe actuel ?,
- et la chrétienté ? il y en a deux : la romaine et la byzantine,
-quant aux protestants,ils sont une multitude. . . au moins un nouveau chaque semaine,
C’est la panique, pour ceux à courte vue, et la France mène la danse, qui considèrent leurs us et coutumes, voire leurs habitudes comme canons.
Rien de vient de rien, et tout vient de tout, dixit Pasteur.
Nous appartenons à tout l’Univers et tout l’ Univers est nôtre.
D’où une nécessité de modestie et de TOLERANCE. D’accord pour être attendris devant nos origines,mais il faut être indulgent devant celles des autres.
L’homme peut aimer tendrement une femme, l’homme intelligent acceptera qu’elle ne soit pas la plus merveilleuse des femmes.
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La langue française : notons avec modestie notre dette verbale envers l’étranger. Le gros de la langue, en dernier ressort vient du picard et du normand., mais
anglais : 28% de nos emprunts étrangers ( coing)
italien : 15% ( caviar )
germanique commun: 13% ( matelot )
gallo-romain : ( braguette)
arabe : 5% ( sirop )
celte : 3% ( flanelle)
espagnol : 3% (camarade )
hollandais : 3% ( boulevard)
allemand : 3% ( nouille)
persan : 2% ( divan )
asiatique en général : 2% ( mousmé)
sémitique : 1% ( jupe )
slave : 1% ( bistrot )
+ 8% de mots de diverses langues ( ibère,ligure,tchèque,tamoul,malais, turc, bantou, hongrois, basque, arménien, portugais, amérindien, hindi, etc. sans compter que 75% des mots nous viennent du grec, soit en direct, soit via le latin, soit via l’arabe.
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Juste pour rire : Qui peut me trouver le complément adéquat pour les 3 mois de Octobre, Novembre et Décembre. Pour les autres, je propose :
Septembre comme du poulet
Janvier ton sort heureux
Février tes yeux dans mes yeux
Mars ou crève
Avril toi sous mon parapluie
Mai ta main dans la mienne
Juin ta force au courage. Bernie 1999-2000

Suis tombé par hasard ce matin, au cours d’une lecture, sur ce proverbe chinois. Je vous le livre, car je le trouve marqué au coin de la sagesse. B e r n i e

S’il y a de la lumière dans l’âme, il y aura de
la beauté dans la personne.
S’il y a de la beauté dans la personne,il y aura de l’harmonie au foyer.
S’il y a de l’harmonie au foyer, il y aura de
l’ordre dans la nation.
S’il y a de l’ordre dans la nation, il y aura
la paix dans le monde.

Le Bonheur !

Vous avez pris le risque de nous solliciter. Vous voici puni avec moi.
Depuis 30 ans je traîne mes bottes sur les 5 continents à la recherche de l’ élephant blanc et . . . j’espère ne jamais le trouver, persuadé que je suis que ceux qui courent après le bonheur ne le trouveront jamais.
Ce ne sont pas les panoramas exotiques qui m’attirent, mais les multiples facettes de la Création chez les hommes. En tant qu’Européen occidental, citoyen d’un pays “ de cocagne”, d’une démocratie ( mon épouse et moi-même sommes de familles simples et nous sommes de modestes retraités), nous ne pouvons que nous estimer heureux en découvrant ailleurs dans le monde la pénurie, la misère, la dictature qu’elle soit politique, économique ou religieuse.
Vous dites : “ A chacun ses petits bonheurs !” Ne serait-ce pas plutôt: “ A chacun ses petits plaisirs !” ? Les plaisirs , ça s’achète. Le bonheur est un don du Ciel. On l’a ou on ne l’a pas.
On entend : “ Autrefois on était plus heureux!” Billevesées ! Chaque âge a ses heurs, les bons et les mauvais. Mais le bonheur est intemporel. Combien de condamnés ont trouvé le bonheur en prison ! Et combien de nababs, épicuriens et hédonistes meurent tristes !
Au retour en France je parle, j’écris et tâche de convaincre mes compatriotes qu’ils ont toutes les raisons, toutes vicissitudes particulières intégrées, d’être heureux. Et puis j’ai beaucoup de temps à donner aux autres , dans ma commune et ailleurs et si la modalité colle en plus avec mes goûts et aptitudes, raison de plus d’être heureux. Voilà le bonheur. Voir un voisin sourire, une fleur s’épanouir, une petite fille chantonner, entendre une bonne nouvelle à la radio, notre chien balloter de la queue, voilà 5 raisons supplémentaires d’être heureux.
Découvrir tel autre meilleur que soi, pour moi c’est un bonheur. J’espère peut-être un jour l’égaler, et l’espérance n’est-elle pas du bonheur à venir ?
Trois des moyens assurés pour être heureux : n’avoir ni rancune, ni jalousie et accepter ses limites.
Je goûte le bonheur ( malgré mille petites infirmités tenaces, mille faiblesses récurrentes
et bien des déceptions fugaces) car la Providence m’a doté d’un vrai ange-gardien, multiforme: une mère admirable ( toujours vaillante à 94 ans), un prof. de 6ème qui m’a initié au latin et au grec et fut toujours paternel, une épouse qui est une bonne mère, . . . et un autre ange-gardien moins visible, qui m’a sorti 5 fois de la mouise. Et tout ce que j’ai demandé au Ciel il me l’a accordé
Chaque matin est pour moi une source de bonheur et l’espoir de faire des heureux.
Je suis heureux en pensant que j’ai tout à apprendre de tous ceux que je vais rencontrer.
La mort ne me fait pas peur. C’est une étape de la vie. Je souhaite ne pas souffrir. Mais même si je dois souffrir, j’espère garder ma Foi en l’au-delà.
Enfin je ne sais distinguer Dieu du bonheur. Et je ne crois pas que (à condition de le partager) le bonheur , il faudra le payer ( comme pensent les pessimistes). Et pourtant un ami psychologue m’a dit que j’étais pessimiste.
Au fond ne suis-je pas simplement heureux par le seul fait que je crois l’être ?
Je ne pense pas comme Lao-Tseu que le bonheur naît du malheur des autres, mais adhère au proverbe anglais : “ Pas de nuage sans une doublure d’argent !”

Et si vous avez eu le courage de lire jusqu’au bout, je soumets à votre sagacité ces quelques mots, ils sont en anglais car ainsi cela rime :
Yesterday is history
To-morrow is mystery
To-day is a gift.
That’s why it’s called present
B e r n i e

Un auteur méconnu qui pourtant n’a pas écrit “ en vain “ .
Qui l’eut “ c r u “ ?


Vive le Vouvray

Paul Claudel , un vrai Picard, écrivain, diplomate, membre de l’Académie française, consul en Chine, en Allemagne, au Brésil, ambassadeur au Japon, aux Etats Unis et en Belgique. Un homme complet maniant aussi bien l’anglais que le latin, le grec et l’allemand. Poète symboliste, mais aussi auteur dramatique (Tête d’ Or, la Jeune Fille Violaine, l’ Annonce faite à Marie, l’Echange, la Ville, l’Otage, le Père humilié,Partage de midi, le Soulier de Satin, le Livre de Job, l’Oeil écoute, Emmaüs, le Pain dur). Tout le monde connaît mais peu savent certainement qu’il a célébré le VIN .
“Le Vin a une triple mission, il est le véhicule d’une triple communion.
La communion tout d’abord avec la terre maternelle. . . de qui il reçoit à la fois âme et corps.
En second lieu la communion avec nous même. C’est le Vin tout doucement qui échauffe, qui dilate, qui épanouit les éléments de notre personnalité . . . qui nous ouvre sur l’avenir les perspectives les plus encourageantes.
Le Vin est le professeur du goût, le libérateur de l’esprit et l’illuminateur de l’intelligence.
Enfin le Vin est le symbole et le moyen de la communion sociale; la table entre tous les convives établit le même niveau ,
et la coupe qui y circule nous pénètre, envers nos voisins, d’indulgence, de compréhension et de sympathie.”

Paul Claudel
1868 - 1955


Et si par un peu probable hasard nos amis d’Enfield doutait encore de la noblesse du vin, vous pourriez leur proposer la traduction de ce paragraphe de Claudel:

Wine has a threefold vocation and is the vector of a triple communion.
Communion first of all with Mother earth. . . from which it receives both its soul and body, communion secondly with ourselves.

It is Wine that gently warms, magnifies and opens up the elements of our personality. . . and which provides us with an insight to the most encouraging perspectives.

Wine is the teacher of taste, the liberator of the soul and the enlightener of intelligence. And thirdly , Wine is the symbol and means of social communion; the guests at the table are on the same level and the glass that goes round,fills us with tolerance, understanding and friendship towards our neighbours.

Bernie



¨ Le Test des Trois Passoires ¨.


Socrate avait, dans la Grèce antique, une haute réputation de sagesse.
Quelqu'un vint un jour trouver le grand philosophe et lui dit :
'Sais-tu ce que je viens d'apprendre sur ton ami ? -- Un instant, répondit Socrate. Avant que tu me racontes, j'aimerais te faire passer un test, celui des trois passoires. -- Les trois passoires? -- Mais oui, reprit Socrate. Avant de raconter toutes sortes de choses sur les autres, il est bon de prendre le temps de filtrer ce que l'on aimerait dire. -- C'est ce que j'appelle le test des trois passoires. La première passoire est celle de la vérité. As-tu vérifié si ce que tu veux me dire est vrai? -- Non. J'en ai seulement entendu parler... -- Très bien. Tu ne sais donc pas si c'est la vérité. Essayons de filtrer autrement en utilisant une deuxième passoire, celle d e la bonté . Ce que tu veux m'apprendre sur mon ami, est-ce quelque chose de bien ? -- Ah non. Au contraire. -- Donc, continua Socrate, tu veux me raconter de mauvaises choses sur lui et tu n'es même pas certain qu'elles soient vraies. Tu peux peut-être encore passer le test, car il reste une passoire, celle de l'utilité. Est-il utile que tu m'apprennes ce que mon ami aurait fait ? -- Non. Pas vraiment. -- Alors, conclut Socrate, si ce que tu as à me raconter n'est ni vrai, ni bien, ni utile, pourquoi vouloir me le dire ?

Une demi-douzaine de membres et épouses ayant manifesté leur intérêt à la suite de la note sur Khalil GIBRAN ( 1883-1931), vous trouverez ci-dessous à l’intention de ceux qui n’ont point encore acquis l’opuscule, deux nouveaux extraits du Prophète, de cet écrivain chrétien libanais , plein de sagesse et de vérité ,

le premier sous la forme d’un poème sur le couple “ homme -femme “ , en réponse à la question d’Almitra :

“ Qu’en est-il du Mariage ? “


“ Vous êtes nés ensemble et à tout jamais vous resterez ensemble.
Vous serez ensemble quand les ailes blanches de la mort
éparpilleront vos jours.
Oui, vous resterez ensemble jusque dans le silence de la mémoire de Dieu.
Mais qu’il y ait des espaces dans votre union,
et que les vents des firmaments dansent entre vous.
Aimez-vous l’un l’autre mais ne faîtes pas de l’amour une chaîne;
Laissez le plutôt être une mer se balançant
entre les rivages de vos âmes.
Remplissez chacun la coupe de l’autre,
mais ne buvez pas à la même coupe.
Partagez votre pain
Mais ne mangez pas de la même miche
Et restez ensemble, mais pas trop près l’un de l’autre;
car les colonnes du temple s’érigent à distance,
et le chêne et le cyprès ne poussent pas
à l’ombre l’un de l’autre.”

le second sur le DON
, qui pourrait être part de l’idéal de l’homme bon :
“ Vous ne donnez que peu lorsque vous donnez de vos biens. C’est lorque vous donnez de vous-même que vous donnez réellement. Car que sont vos biens sinon des choses que vous conservez jalousement par crainte d’un avoir besoin demain ? . . . et qu’est la peur de la misère, sinon la misère elle-même ? Et la crainte de la soif devant votre puits plein, n’est-elle pas déjà la soif inextinguible ?
Il en est qui donnent peu de l’abondance qu’ils ont - et ils donnent pour susciter la reconnaissance, et leur désir secret corrompt leur don. . . Il en est qui donnent avec joie, et cette joie est leur récompense. Il en est qui donnent avec douleur, et cette douleur est leur baptême. . . Il est bien de donner lorqu’on est sollicité, mais il est mieux de donner sans être sollicité, par compréhension. Tout ce que vous avez sera donné un jour: donnez donc maintenant, afin que la saison de donner soit vôtre et non celle de vos héritiers.
Vous dîtes souvent: “ Je donnerai, mais seulement à ceux qui le méritent. “ Les arbres de vos vergers ne parlent pas ainsi, ni les troupeaux dans vos pâturages. Ils donnent afin de vivre, car retenir c’est périr. . . Car en vérité, c’est la vie qui donne à la vie. Et vous qui recevez, élevez-vous avec celui qui donne car être trop soucieux de votre dette, c’est douter de sa générosité qui a la terre magnanime pour mère et Dieu pour père. “

Drew Brown's Facts of Life

Fact #1
WAKE UP, SHOW UP, and PAY ATTENTION, Especially to detail.
Take responsibility for your actions and control your emotions.
Be honest, open-minded and willing to change.

Fact #2
BE HAPPY, HAVE FUN and BE NICE!
Would you rather be right or rather be happy?
The goal is a long, healthy, and happy life.
Be better than your parents, and make this world better for your children.

Fact #3
The Circle Theory
EVERYTHING YOU DO COMES BACK TO YOU.
Make a negative into a positive, and learn from the past.
Times of struggle are times of growth, proportionally.

Fact #4
HAVE PURPOSE. Find your gift and use it. SUCCESS is waking up everyday, doing what you love, and doing it well.
Earn a good living, using a skill or trade you enjoy.
Work hard (study), work smart (think), and don't quit.

Fact #5
The Art of Thought - The Art of Communication - The Art of Action
EDUCATION is necessary.
Knowledge (is learned) and Wisdom (to teach) are Manda
Learn to listen and discern.
Gather good information, prioritize it, and then make healthy choices.

Fact #6
GOOD WILL OVERCOME EVIL
A. Pride - Too much ego & vanity (Low self-esteem).
Humility is Power. Have Honor.
B. Envy - Jealousy; the grass is greener on the other side, because it's fake).
C. Anger - Is Really Fear. Stress is the # 1 cause of death.
When mad, sit down, shut up, and do nothing for 24 hours.
D. Sloth - Nasty, funky, filthy, lazy and disgusting people. God doesn't like litterbugs.
E. Lust - Sex without love.
F. Greed - The curse of insatiability (Impossible to satisfy). The love of money is evil.
G. Gluttony - Eating with Greed. Drink water, eat right, & exercise. Wake up naturally. Weight control is Calories in vs. Calories out. Period!
H. Alcohol & Drugs - The Big Lie. Feel good for a minute & miserable for a lifetime. Nicotine is the epitome of addiction. Addiction is Slavery.

Fact #7
USE COMMON SENSE AND MODERATION.
To quit while you’re ahead, doesn't mean you're a quitter.
Sometimes one must surrender to win. Time heals all.

Fact # 8
EMIT INTEGRITY and RESPECT!
Don't lie, cheat or steal. Power is asking for help, and then using it.
Be careful for what you ask for.

Fact #9
DEVELOP SELF-DISCIPLINE.
Recognize and overcome your weaknesses.
Perform continuous self-examination.
Learn to be still, quiet, and at peace within yourself.
Meditate. Observe and enjoy a “Sabbath”.
YOU KNOW RIGHT FROM WRONG.
Stop doing wrong, when you know what is right. Do what you're supposed to do, not what you want to do, until what you're supposed to do, becomes what you want to do. Then, you can do what you want to do.

Fact #10
TREAT OTHERS, AS YOU WANT TO BE TREATED.
Don't judge. "We are all one race; the human race."
You are unique. Love yourself and be your own best friend.
If you can't help change your friends, then change friends.
Good relationships stay healthy when there is,
No ego competition and Zero Aggravation.
Forgiveness, patience and tolerance are virtues that set you free.

Fact #11
YOU GOTTA BELIEVE!
Live your life in gratitude and have faith in grace.
Life is; Oxygen, Survival, Purpose, Freedom, Love and Happiness.

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Conseils d’un vieillard, gyrovague impénitent

Allez tranquillement parmi le vacarme et l’agitation. La paix existe aussi dans le silence. Sans rien abdiquer. Vivez si possible en bons termes avec tout le monde. Dites doucement et clairement votre vérité et écoutez celle des autres, car même celui qu’on dit simple d’esprit et l’ignorant, eux aussi ont leur histoire. Évitez les individus bruyants et agressifs, ils sont une offense contre l’esprit.
Ne vous comparez à personne: vous risquez de devenir vaniteux. Il y a toujours plus grand et plus petit que vous. Jouissez aussi bien de vos projets que de vos réussites. Soyez toujours intéressé à votre travail, si modeste soit-il: c’est un vrai trésor parmi les prospérités changeantes du temps. Soyez prudent dans vos affaires, car le monde est plein de fourberies, mais ne soyez pas aveugle en ce qui concerne la vertu qui existe. La vie est remplie de héros . . . à leur façon.
Soyez vous-même. Surtout n’affectez pas l’amitié; Ne soyez pas non plus cynique en amour, car, face à toute stérilité et à tout désenchantement, l’amour est aussi éternel que les mauvaises herbes de votre jardin. Prenez avec bonté le conseil des années, en renonçant avec grâce à votre jeunesse. Fortifiez votre esprit pour vous protéger en cas de malheur soudain, mais ne vous chagrinez avec vos chimères - bien des peurs naissent de la fatigue et de la solitude.
Au-delà d’une saine discipline, soyez doux avec vous-même. Vous êtes un enfant de l’Univers et, autant que les arbres et les étoiles, vous avez le droit d’ exister. Soyez en paix avec Dieu quelle que soit la conception que vous en ayez, et quels que soient vos travaux et vos rêves, gardez dans le désarroi ou le bruit qui vous entoure la paix dans votre âme.
Si vous avez le bonheur de croire : demandez tout et, si c’est pour le bien du monde, vous serez à coup sûr exaucé
Avec ses perfidies, ses moments fastidieux et ses rêves brisés, le monde est beau.

C’est à vous qu’il revient de tout faire pour être heureux.


Je crois au Ciel et aux bons Anges
. (Les mauvais existent aussi)
J’ai un ange-gardien ( occupé à plein temps avec moi) dix fois il m’a sorti de la mouise jusqu’ici dans la vie .
La dernière fois c’était la semaine dernière en Grèce . Je participais à Athènes à un FORUM (“The Roman Bridges” pour expliquer à des profs de partout la transition du grec à l’anglais ) et profitais en outre de la mer et d’une héliothérapie.
Vendredi dernier, comme je le faisais chaque matin , avant d’aller à l’Université pour le début du séminaire à 10h, je déjeunai et m’en fus de l’autre côté de la rue piquer une tête dans une eau à 27°C et nager pendant une demi-heure.
Après quinze minutes dans l’eau, je ressentis une difficulté à respirer. Je regagnai donc la berge , mais ne pus me mettre debout. L’air manquait vraiment. (La semaine précédente lors de la marche hebdomadaire à St Cyr avec une 20aine d’amis j’avais déjà souffert d’une insuffisance respiratoire, genre d’oedème pulmonaire d’origine cardiaque )
Derechef la respiration ne revenait pas. Je soufflais et haletais avec peine. Je remis chemisette et sandalettes difficilement et tentai d’alerter un Grec, à 50 m. de moi. A cette heure matinale il y a très peu de baigneurs sur la plage. Ce brave type crut que je lui faisais “ Bonjour !” de la main.Et il me répondit de même . Une main que j’avais déjà eu tant de mal à lever.
C’est alors que je perdis connaissance. Combien de temps suis-je resté ainsi, je l’ ignore.
Mais quand je repris mes esprits, le type en question(mon Ange-gardien ce jour-là) était à mes côtés avec son portable. Il n’était pas seul. Il était accompagné de deux infirmiers et d’un toubib qui m’appliqua un masque à oxygène sur le visage et me fit une injection. A dix mètres derrière attendait une ambulance gyrophare en activité. Civière, etc. et hop en voiture.
Athènes groupe maintenant la moitié de la population grecque et la circulation routière ne s’est pas améliorée en ville. 25 Km pour atteindre l’ hôpital soit 40 minutes , malgré la sirène.
Passons sur un tas de détails comiques.
Admis aux urgences “ Soins intensifs” : scanner, cardio-gramme, re injection, radiographie etc. ( tension : 29 ) “ Nous allons vous garder 4 jours car il faut que tout se régularise “ . Par ambulance et sur civière on m’emmena à 200 m. dans l’Unité 6 . Là-bas je me suis retrouvé, en compagnie de 3 Grecs , et branché à deux fils plus le tube à oxygène. Au bout de trois heures, je me sentais très bien et dis au toubib qui venait me voir tous les quarts d’heure que le lendemain matin,samedi , j’avais un avion à prendre pour rentrer à Paris. “ Pas question”, me dit-il en tournant les talons.Un administratif vint discuter assurances. J’avais oublié d’emporter le Formulaire E 111. L’Ambassade de France contactée ne répondit même pas au téléphone.Dans le monde entier les Consulats de France sont toujours fermés quand on a besoin d’assistance, Floscel a regretté la même carence lors de l’accident de son train au Kenya alors que les autres Consulats étaient présents. “ J’ai une assurance ELVIA qui marche “ ai-je précisé .
Comme on m’avait oublié, je détachai les 2 fils ( sans dommage puisque la vie ne tient généralement qu’ à un ) et fermai l’oxygène. Je m’en fus au carré des toubibs et leur dis que ma décision était prise. Je serais demain à court de médicaments pour mon hypertension et ma femme m’attendait Après réflexion ils m’ont fait signer une décharge et je m’en fus. . .
Un taxi qui venait d’amener un visiteur parut fort heureux d’avoir du fret assuré pour retourner au centre-ville où j’avais un bus direct pour mon hôtel. Arrivé à Syntagma , au diable l’avarice,et me sentant unpeufatigué, je lui proposai de m’emmener jusqu’à mon hôtel. Ce qui sembla le combler
Le lendemain matin direction l’aéroport ( le second d’Europe depuis 1 an, en modernisme et efficacité, J.O. 2004 obligent ) Vol et retour à Roissy. Autocar jusqu’à Montparnasse et TGV pour Tours.
Cardiologue, ( tension: descendue à 18 ) médication intensive, régime drastique. Il me faut perdre 5 kg. et prendre du repos. Pas de voyage en perspective avant janvier. Vous imaginez que je suis impatient de reprendre mes cours le 1er octobre et . . . et l’avion le 3 janvier !
Même si votre destinée est tracée, ou du moins que le bon Dieu la connaît, il est certain que, comme tous les autres humains, vous êtes libres sur terre. Et tant que vous y serez utiles, vous y serez maintenus par votre Ange-Gardien. Bisous à vous six .
Carpe diem ! Bernie 26 - 7bre 02

Vonette & Bernie

Si dans un accès d’ ecmnésie passagère, Vonette qui n’a pas sur le monde le même avis que son Bernie d’époux ( peut-être est-ce elle la plus lucide ? ) ,
si Vonette, disais-je , osait insinuer que Pénélope garde le foyer pendant qu’ Ulysse parcourt le globe, n’hésitez pas à lui rappeler, avec la substilité que l’on vous sait , qu’elle a cependant , dans sa présente vie , entre autres visité amplement les pays que voici
:

Algérie, Tunisie, Maroc, Sénégal, Bénin, Egypte , Madagascar, Réunion, Maurice,
Israël , Syrie, Liban , Mt Sinaï, Sharm el-Sheik, Chypre, Malte, Samos,Hydra ,Poros, Grèce Attique , Turquie, Yougoslavie,
Suisse , Italie, Espagne , Portugal, Canaries , Madère, Baléares , Allemagne , Lichtenstein, Sicile,
Pologne, Estonie , Lithuanie, Lettonie, Finlande, Bulgarie, Hongrie, Autriche, Tchécoslovaquie,
Russie, Sibérie, Biélarus , Ukraine
Belgique, Hollande , Luxembourg, Islande, Irlande, Ecosse , Angleterre , Jersey, Pays de Galles
Canada, USA , Hawaï , Mexique, Cuba , Terre-Neuve,
Vénézuela, Colombie, Equateur , Brésil, Argentine , Paraguay, Tanger
Inde , Pakistan , Indonésie ( Sumatra , Java , Bali , Sulawésie) , Hong-Kong, Chine , Singapour, Japon, Taïwan, Corée, etc. ( liste non limitative )






Les Français racontent des histoires belges, les Américains des histoires polonaises, les Anglais des histoires irlandaises. Chacun a sa tête de turc ; chacun a son bouc émissaire. Mais il est une exception .
Qui mieux qu’un juif sait raconter une histoire juive ?
Ce n’est pas le moindre trait de son caractère, et combien agréable, chez ce peuple au destin particulier, que de faire de l’esprit sur son propre dos. Il faut dire qu’ils ont souffert tant misères de tous temps que sans l’humour,il y a belle lurette qu’ils auraient disparu de la surface de la terre. Reconnaissons-leur au moins cette qualité . Voici la dernière que j’ai entendue cette semaine dans un kibboutz de Galilée:
Moshé monta au sommet du Sinaï pour parler de plus près à Dieu . Levant les yeux au ciel, il dit : “ Seigneur, un million d’ années, qu’est-ce que c’est pour Toi ?” Dieu répondit : “ Une minute “
Moshe risqua une seconde question: “ Un million d’€uros, qu’est-ce que c’est pour toi ?” Et Dieu de répondre : “ Un centime ! “
Moshe crut bon d’exprimer une modeste prière: “ Peux-tu me donner un centime ? “ Et le Seigneur de répondre : “ Dans une minute !”

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